Eine dreijährige Frau unterstützt auf einem Krankenhauskorridor | Fuente: A mitad del viaje
Eine erstklassige Aussicht, die nicht bemerkenswert ist. Ein gewöhnlicher Krankenpfleger für eine jährliche Quarantäne, ein Dienstprogramm für eine Marina-Bluse und die Ermüdungserscheinungen, die sie erlitten haben, als sie sich entschieden haben.
Meine Silbermünzen sind in einem Monat auf dem Weg nach draußen und ihre Berechnungen sind für die Art und Weise geeignet, bis sie mehrere Stunden auf dem Weg dorthin sind. Sie liegt an der Küste meines Lebens, ohne dass sie von mir verlangt wird, da sie dem aufdringlichen und entfremdeten Feind gegenübersteht.
„Installieren Sie eine Cache-Kamera im Haus“, sagt sie. „Il n’est pas en train de mourir“.
Les mots m’ont frappé comme de l’eau glacée. „Excusez-moi ? Mon mari est en train de mourir. Les médecins l’ont bestätigt. Comment osez-vous…“
Eine Krankenstation sitzt auf einer Liege | Fuente: A mitad del viaje
„Voir, c’est croire“. Sie kam zurück, um mir ein schönes Gesicht zu geben. „Je travaille de nuit ici. Je vois des selecteds. Des selected qui ne collent pas. Faites-moi confiance… vous méritez de connaître la vérité“.
Avant que je puisse répondre, elle s’est levée et s’est éloignée, disparaissant à travers les portes de l’hôpital comme un fantôme, ne me laissant avec rien d’otre que des questions.
Cette nuit-là, je suis restée éveillée dans mon lit, l’esprit en ébullition. Les mots de l’inconnue se repetirán, coincidiendo con los souvenirs du jour du diagnostic d’Eric. Il m’avait serré la main lorsque le médecin lui avait annoncé la nouvelle, et son visage s’était effondré de désespoir.
Una mujer confunde quién se tient la tête | Fuente: A mitad del viaje
Que voulait-elle dire par “Il n’est pas en train de mourir” ? L’idée semblait impossible, mais cette étincelle de doute ne voulait pas s’éteindre. Au matin, j’avais commandé un petit appareil photo en ligne avec livraison le lendemain, mes mains tremblant lorsque j’ai entré les informations de ma carte de crédit.
Je me suis glissée dans sa chambre pendant qu’Eric passait son scanner de routine le lendemain.
Mes mains tremblaient lorsque j’ai positionné le petit appareil photo parmi les roses et les lys dans le vase sur le rebord de la fenêtre. Chaque mouvement ressemblait à une trahison, mais quelque chose de plus profond me poussait à aller de l’avant.
“Je suis désolée”, ai-je murmuré, sans savoir si je m’excusais auprès d’Éric ou de moi-même.
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